M.C. Escher
Néerlandais, 1898 - 1972
lithographie sur papier vélin revêtu d'argent
43,5 x 25 cm ; l'image: 31,8 x 21,4 cm
Dans cette image qui sort du commun, Escher réalise un projet et présente le moyen par lequel on peut réalier notre auto-portrait : il utilise le miroir (et il prend aussi le décor et pas seulement son reflet de lui même). Contrairement à ses précédents travaux, il est clair que Escher s'intéresse pas à ses propres traits du visage, mais dans la manière dont l'espace est déformé par une surface réfléchissante convexe (Mirroir sphérique) . L'artiste se montre dans son atelier, à l'arrière on aperçoit un salon. C'était la représentation de son appartement de Rome qu'il délaisse un an après pour partir s'installer en Suisse.
Néerlandais, 1898 - 1972
lithographie sur papier vélin revêtu d'argent
43,5 x 25 cm ; l'image: 31,8 x 21,4 cm
Dans cette image qui sort du commun, Escher réalise un projet et présente le moyen par lequel on peut réalier notre auto-portrait : il utilise le miroir (et il prend aussi le décor et pas seulement son reflet de lui même). Contrairement à ses précédents travaux, il est clair que Escher s'intéresse pas à ses propres traits du visage, mais dans la manière dont l'espace est déformé par une surface réfléchissante convexe (Mirroir sphérique) . L'artiste se montre dans son atelier, à l'arrière on aperçoit un salon. C'était la représentation de son appartement de Rome qu'il délaisse un an après pour partir s'installer en Suisse.
Escher a choisi une sphère pour sa réflexion, ce qui crée des formes, des courbes et des lignes intéressantes.
Par ailleurs, le fait qu'on ne perçoit pas l'arrière plan de la main donc on peut imaginer qu'il soit devant un mur ou alors que c'est volontaire afin de se concentrer sur l'unique réfléxion de la sphère. Ses copies et gravures sur bois reflètent une incohérence liée à la représentation de trois dimensions (3D) sur une surface bidimensionnelle (2D). Contrairement aux peintres de la Renaissance qui se sont efforcés de reproduire un monde dans lequel l'image et la réalité étaient indiscernables, les images d'Escher sont donc des illusions d'optique. Escher crée alors une sorte de tromperie.
Par ailleurs, le fait qu'on ne perçoit pas l'arrière plan de la main donc on peut imaginer qu'il soit devant un mur ou alors que c'est volontaire afin de se concentrer sur l'unique réfléxion de la sphère. Ses copies et gravures sur bois reflètent une incohérence liée à la représentation de trois dimensions (3D) sur une surface bidimensionnelle (2D). Contrairement aux peintres de la Renaissance qui se sont efforcés de reproduire un monde dans lequel l'image et la réalité étaient indiscernables, les images d'Escher sont donc des illusions d'optique. Escher crée alors une sorte de tromperie.